Sépulture antique, recouverte de tertre de terre, dans les steppes de Russie.
kurgan курга́н
kurgan, russe, proviendrait d'un mot tartare selon Jean-Paul Demoule,
tandis que le TLF le rapproche du perse gurxane (guure = sépulture ) et (xaane = maison)
La craniométrie s'était également maintenue à l'université de Genève, autour de Marc-Rodolphe Sauter. L'un de ses élèves, Roland Menk, publie dans les années 1980 plusieurs travaux, renforcés par des analyses statistiques multivariées, dans l'optique traditionnelle d'identifier "cro-magnonoïdes" ou "méditerranéens" sur le territoire européen, notamment par rapport aux migrations supposées des kurgans.